Modifié le 19/08/2020

Libido en yoyo, comment la maintenir à la hausse ?

Plus de désir, c’est plus de plaisir à la clé. Comment le cultiver quand il s’émousse un peu et trop longtemps.

 

Se sentir « in the mood for sex », cela donne de l’intensité, du relief, des couleurs à la vie. Nous le vivons passionnément au début d’une histoire d’amour, mais la nature et ses aléas reprennent souvent le dessus. Le désir culmine alors plutôt au moment de l’ovulation pour s’estomper ensuite, avant de remonter après les règles. Pas évident à suivre, ni toujours très satisfaisant. Nous pouvons rêver d’une vie sexuelle plus riche, au-delà des hauts et des bas de notre rythme physiologique. 7 possibilités pour l’embellir.

Je me fais du bien

L’approche de la fin du cycle ne favorise pas les bouffées de désir, tout comme le rythme professionnel et familial trop soutenu, le stress, la fatigue… Stop ! On s’offre des pauses, des parenthèses de bien être en prenant plus de temps pour soi dans son bain, en prolongeant la sieste le week-end, en ménageant des moments avec les copines… pour être justement détendue avec son partenaire et disponible pour des échanges amoureux.

Je me sens belle

Cela aide à se sentir désirable… pour désirer davantage. Tous les jours ? Les règles entament souvent cette confiance, nous pouvons nous sentir gonflées, les traits tirés… Mais cela se corrige, se rattrape, s’habille… et ne se perçoit d’ailleurs pas vraiment par l’entourage. On se fait donc belle, surtout pour se sentir bien dans notre corps et notre tête, avec ce qu’il faut de maquillage, des vêtements seyants, de la jolie lingerie. Une bonne protection, comme la coupe menstruelle be’Cup bien positionnée et régulièrement rincée, permet d’épargner soies et dentelles.

Je lis, je vois, j’écoute, j’imagine… ce qui me stimule

L’univers érotique n’est résolument pas réservé aux hommes. Cultivons le nôtre par des lectures inspirantes, pourquoi pas des images qui réveillent la libido. Essayons, et si nous ne nous y retrouvons pas, laissons gambader nos pensées dans la journée, le soir… Cet imaginaire se construit et s’entretient.

Je recrée des rituels amoureux

Tous les couples ne marquent pas de pause au moment des règles, mais si c’est le cas, la fin des saignements peut être l’occasion d’une soirée spéciale (de quoi se retrouver avec plus de plaisir. Et rien n’empêche d’imaginer d’autres rituels au fil du mois).

Je dis ce que j’aime

Parler sexe, c’est bon pour le désir. Cela permet d’éviter les malentendus, donne l’occasion au partenaire de mieux vous connaître pour vous apporter plus de plaisir, et réveille aussi la libido. Finalement, la discussion fait bien partie des préliminaires. Osons dire ce que nous aimons secrètement pour vivre des moments plus forts à deux.

J’écoute ses attentes

Chacun son tour, c’est important. A lui de se livrer également car le plaisir masculin a ses mystères, ses inquiétudes… Troublant ? Et souvent excitant. Choisissons juste le bon moment pour le vivre en toute confiance et dans la détente.

Je m’interroge sur ma contraception

Vraiment peu de désir, mais depuis quand ? Cette question peut vous amener à faire le lien avec le début d’une contraception orale qui émousse le désir. C’est rare mais possible et il est bon d’en parler avec le gynécologue pour repenser le dispositif si nécessaire. Le stérilet, comme le simple usage de préservatifs, conviennent mieux à certaines qui ressentent ainsi plus fortement le pic de désir au moment de l’ovulation.

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